jeudi 20 janvier 2022

Muselée, bâillonnée, sous-oxygénée, aliénée


 

Aimer son masque. Se prendre en photo avec. Faire le V de la victoire en mode je-suis-une-bonne-personne-je-me-protège-et-je-protège-les-autres-comme-l'exige-le-gouvernement. Bon, d'accord, ici, ce n'est qu'une parodie photoshopée mais il y en a plein des comme cela dans la réalité. On assortit son masque à sa tenue du jour, on en cherche des particulièrement originaux pour épater la galerie, ce n'est peut-être pas l'ultime aliénation puisque l'aliénation ne semble pas avoir de limite, mais on pourrait dire qu'elle se rapproche des bords. Exemple :


                                                



Les esclaves d'Harriet Tubman l'étaient sous la dénomination d'esclaves et n'en niaient pas moins le fait de l'être. Alors que dire de la masse muselée volontaires d'aujourd'hui? N'ont-ils pas entendu Attali visage à l'air et nez au vent ordonner sans vergogne à une intervieweuse à masque de le remettre sur son nez à elle privé, lui, de ce vent qui normalement devrait être à tout le monde ? N'ont-ils pas remarqué que les maîtres ne masquent occasionnellement leur trogne hypocrite que lorsqu'il s'agit de faire croire à la populace qu'ils observent leurs propres règles stupides? Les gens croient-ils sérieusement arrêter un virus sur les millions que l'on respire à chaque instant avec un tissu synthétique dont la composition douteuse l'a été made in China?
Et comment ce fait-il que ce virus si virulent ne nous tue pas, nous autres réfractaires aux prétendues mesures sanitaires? Cela fait quand même deux ans que nous nous moquons éperdument de garder les distances, que nous contournons exprès les distributeurs de désinfectant, nous frottons plus que jamais le museau entre nous comme bras d'honneur politique et que nous ne mettons plus les pieds dans aucun endroit où les piqués traînent et passent leur temps à se contaminer entre eux pendant que, de notre côté, nous ne tombons absolument plus malade, curieusement. C'est bizarre quand même que lors de la pire pandémie de tous les temps, les moins vertueux/ses restent en vie pendant que les "exemplaires" finissent à l'hosto! Et en plus notre nombre s'accroît au fur et à mesure que décèdent les piqués de la première heure.
Qu'est-ce que le SARS-Cov2? Un virus fabriqué (et breveté) en martyrisant des chauve-souris pour que les simples d'esprit se remettent à clouer ces pauvres petits insectivores volants sur les portes comme au moyen-âge au lieu de s'en prendre aux nouveaux apprentis sorciers.
Mais comme la nature a horreur que l'on essaie de se substituer à elle, le pauvre petit SARS a vite perdu de ses capacités à nuire et a depuis longtemps muté en Caliméro paumé.
Et de toute manière ce n'est ni un masque ni deux masques ni trois masques et plus placés l'un par dessus l'autre qui va l'arrêter. 

Ni le prochain virus qui est censé arriver dans la 3e phase du plan nous ne l'arrêterons avec ce qui n'est qu'un instrument de soumission ou comme dirait Tal Schaller une chambre à gaz portable.

Mais rien à faire, j'évolue chaque jour dans des espaces où des gens sans visage, qui ont perdu la face, dont la face est cachée et le museau recouvert qui d'un lange qui d'un filtre à café déambulent avec le naturel de zombies dans un film d'horreur mais c'est moi et mon visage découvert qui passons pour terrifiants.

Aux gens qui masquent leurs enfants voire leur chien en s'imaginant que cela n'aura jamais aucune conséquence dans le futur, je recommande chaudement cet article qui s'intitule : 

Le masque : un lent assassinat collectif monté sur des mensonges, une muselière antisociale pour esclaves consentants


La folie en cours doit s'arrêter le plus rapidement possible. Moi-même ai dû travailler cinq heures par semaine avec ce liquidateur de neurones et de sinapses mais ai été heureusement remerciée pour avoir critiqué l'injection expérimentale qui, paraît-il, est incriticable. Malheureusement je donne encore des cours à des enfants dont la dégénéresence cognitive est chaque jour plus alarmante à observer. Quant au masque, je ne le porte plus JAMAIS et ne me rends plus dans aucun endroit où il est imposé.

Si vous voulez conservez trois neurones avant que toute cette mascarade s'effondre, arrêtez-vous, vous aussi, de vous asphyxiez volontairement. Tout de suite. Et épargnez les enfants ou alors n'en ayez pas!







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