samedi 16 avril 2022

BIG SISTER IS WATCHING YOU

 


Artémis - après avoir demandé à Aréthuse si elle était de gauche, pro-prostitution, pro-trans, pro-voile, pro-vaccin ainsi qu'en possession d'un code QR - la protégeant du dieu-fleuve Alphée.(peinture de Charles-Alexandre Crauk,1819 - 1905)

La globalisation, le corona, l'Ukraine, le transhumanisme et autres propagandes gouvernementales doivent être avalées les yeux fermées par la classe militante, surtout féministe,  qui hurle quand même qu'elle est de gauche tout en enfourchant les chevaux de bataille de madame von der Leyen. La même gauche autoproclamée s'offre, en sus, la prérogative d'étiqueter à "droite" tou.te.s celleux qui ne se plient pas, ne se couchent pas, ne lèchent pas les bottes du pouvoir. Car qui ne lèche pas les bottes du pouvoir est estampillé d'extrême-droite ou carrément "nazi". Il faut croire que les nazis n'ont jamais été au pouvoir, Il faut croire que la gauche a toujours été du côté des plus forts. Les "fascistes" sont désormais les empêcheurs de se prosterner en rond devant les maîtres. Toute valeur est inversée. Tout sens est retourné cul par-dessus tête comme dans "1984"; la gauche c'est se conformer, la droite c'est désobéir. Dans un monde où le crédit social à points se conjugue au futur, dépêchons-nous d'être bien notées, les filles !

À l'heure où les pires ploutocrates s'autoproclament "de gauche", la cour toujours en mal d'imitation des "grands" ben... les imite, du coup et,ce faisant, se proclame de gauche aussi. Aucune remise en question des dominants sauf anciens ou de troisième catégorie, même pas de leurs marionnettes. On est loin d'avoir le courage des suffragistes britanniques qui dynamitaient les résidences des nantis et se jetaient sous les pattes du cheval du roi ! Foin du sentiment d'injustice. Tout cela doit être remisé au grenier.

On ratiocine à perdre haleine sur les dissensions, on répertorie de A à Z les groupuscules infréquentables, pardon "de droite", avec lesquelles ne pas s'aventurer à vouloir débattre et bien sûr, avec lesquels ne pas partager le centième d'une opinion, attention aux mauvais points. On ne se commet pas avec les sous-humains (la déshumanisation est une notion nazie devenue de gauche) sous peine de déportation dans le goulag des têtes brûlées qui ne se soumettent à rien. 

La solidarité féminine/ste est bien morte. Chacune cultive désormais l'idéologie adoubée par papa-état et le délit de penser en dehors des clous équivaut à un crime puni de bannissement social. C'est la catharsis 2.0. C'est-à-dire les deux minutes de la haine orwellienne, l'expression préalable de l'agression qui permet de mieux accepter les chaînes.

Bref, le morcellement est total et plus personne n'accepte les divergences de points de vue. Ce qui signifie que sortir de la domination masculine installée depuis des siècles n'est plus du tout mais alors plus du tout la priorité. C'est principalement la biologie qui sert de pomme de discorde et cela se comprend parfaitement avec la main-mise actuelle de l'industrie pharmaceutique sur nos vies. Donc, on ne trouvera nulle part de critique à ce sujet, au contraire : uniquement des critiques de qui critique. Et puis étiqueter ce qui est de gauche et ce qui est de droite pour bien maintenir le focus sur les guerres de chapelles, bien entretenir les divisions, cela permet de garder ses oeillères en place. Il me semble que lorsqu'on contourne en permanence l'éléphant dans la pièce, c'est qu'il fait la loi et en parler est donc le tabou suprême.  



Le Dieu-fleuve Alphée (le blanchâtre) à la poursuite de la néréide Aréthuse (l'eau vive) pour lui inoculer des fluides à lui sans son consentement et sous la menace mais on n'appelle plus cela viol, on appelle cela "solidarité"..


En rapport avec mon entrée précédente, je viens, à ce propos, de découvrir un article particulièrement condescendant. Il dénonce exactement l'argument que j'ai utilisé contre la modification génétique des humains (qui ne veulent surtout pas bouffer des OGM mais veulent bien en devenir eux-mêmes). Il y a même la comparaison avec Frankenstein ! Jugez vous mêmes :

Vouloir améliorer l’humain renvoie à l’imaginaire du Frankenstein de Mary Shelley, à une volonté prométhéenne qui veut se mettre à la place de Dieu et qui, ce faisant, va immanquablement provoquer des catastrophes. Les vaccinateurs sont présentés comme de véritables apprenti·e·s sorcières·ers. On critique dès lors la composition – réelle ou supposée – des vaccins, les nouvelles techniques qui n’ont pas été éprouvées, et on monte soigneusement en épingle le moindre accident vaccinal. À ce sujet, Salvadori et Vignaud notent que l’internationalisation des informations diffusées par les vaccinophobes est très précoce, quelle que soit la qualité de celles-ci (souvent issue de rumeurs, mais pas toujours puisque l’histoire de la vaccination est faite d’accidents vaccinaux parfois très graves, par exemple par la propagation de certaines maladies par des actes pratiqués dans des conditions d’hygiène insuffisantes).

À lire sur LA référence blogosphérique féministe actuelle française. Remarquons que tourner en dérision les sceptiques de la seringue qui doit toutes nous transformer en Wonder Woman, et pas en invalides à vie, ou alors accidentellement mais alors c'est pas grave parce que ça n'a de toute façon rien à voir avec la soupe injectée, cela va de soi, doit être compris comme un argument pro-injection expérimentale imposée à sept milliards d'individus qui n'onr rien demandé à personne.

Les néoféministes chassent maintenant de plus en plus sur les terres de, jadis, les fanatiques religieux (tout en continuant à se considérer elles-mêmes comme des sorcières que l'on veut brûler car "les bourreaux sont les victimes" selon l'inversion orwellienne)) sous des appelations fabriquées maison de plus en plus ridicules :

- les putophobes ou PERF + les transphobes ou PTERF + (maintenant) les vaccinophobes ou VPTERF

Le féminisme est devenue un pouvoir dans le pouvoir et attention à la dissidence car désormais "BIG SISTER IS WATCHING YOU" !


Ce n'est pas grave pour les croyants en la Sainte Médecine si la personne humaine est traitée comme ici, en Chine, où ce déjà robot, vrai cosmonaute du pavé, attaque une vieille femme avec son écouvillon.

samedi 2 avril 2022

« J'ai toujours voulu être un cyborg »

 

 Au début de la vidéo, apparaît une  "influenceuse" (= JEUNE personne agréable à regarder et incarnant la TENDANCE du moment de toutes les fibres de son APPARENCE, très travaillée bien que cela ne se remarque pas au premier abord, chargée de ringardiser certaines opinions indépendantes, tout en exhaltant d'autres qui, elles, profitent exclusivement aux groupes d'intérêts qui la finance. Le terme "influenceur/euse" témoigne en soi de l'arnaque en cours mais certain.e.s dont le besoin d'appartenance au courant actuel domine, ne veulent pas le savoir). Mise en avant par les groupes d'influence des mondialistes, la Japonaise Hiromi Ozaki, dite aussi Sputniko!, anime des sessions sur le transhumanisme, ce qui voudrait dire qu'elle est candidate à la transformation de l'humain en machin moitié viande-moitié métal avec plus ou moins de pièces détachées vissées entre elles et le sang bourré d'autant de nano-microprocesseurs. Elle l'annonce en introduction du débat comme s'il s'agissait du RÊVE DE SA VIE : "J'ai toujours voulu être un cyborg". 

Il faut traduire cela par "c'est LE progrès" ou plutôt "LES" progrès parce que, désormais, le "progrès", tel l'un des nombreux pouvoirs du cyborg moyen, s'est démultiplié.

LES progrès en quoi ? En termes d'interfaces cerveau-ordinateur", comme ils disent. Qui est intéressé.e ? Attention, ces "avancées" n'ont, bien entendu, qu'un seul BUT et devinez lequel ? Notre SANTÉ! Les technoscientistes n'ont qu'une seule et noble pensée : alléger notre, selon eux, trop pesante vie, nous débarrasser de l'énorme, ouhlala, responsabilité de prendre NOUS-MÊMES en charge notre propre bien-être et notre propre santé. "Notre" = ceux d'entre nous qui paient, bien sûr. Pas celle de l'enfant dans les mines de terres rares qui n'atteindra jamais l'âge adulte. Celui-là est déjà esclave, pas besoin de l'amener en douceur à le devenir.

Un copain, ancien tôlard, ayant dans sa jeunesse cambriolé une banque et aussi ex-évadé (mes nouvelles fréquentations sont tout à fait originales depuis le délire covidiste qui s'est emparé de la société) a pris l'habitude de me transporter, une fois par semaine, sur sa moto à travers Berlin pour m'éviter la soumission aux nouvelles conditions de transports publics liées à la "santé", toujours elle, l'hygiénisme et le totalitarisme ayant toujours fait bon ménage. Ensuite de quoi, nous nous retrouvons à plusieurs devant une tisane aux herbes à commenter l'état du monde. À cet occasion, ce copain disait, il y a peu : "oui, mais moi, par exemple, je suis un peu cyborg parce que j'ai un morceau de titane dans la hanche gauche, À quoi j'ai répondu "un bout de ferraille dans le corps ne suffit pas à faire de toi un cyborg. Si ton bout de titane était commandé de l'extérieur, ce serait différent. Et puis, tu dois au moins avoir quelques microrécepteurs et autres machins électromagnétiques dans le cerveau qui te permette de télécharger des programmes comme sur un ordinateur ". À quoi il a rétorqué "c'est totalement du délire, cette idée de télécharger un programme, genre je me programme comme ceinture noire de kung fu acrobatique mais je n'ai jamais entraîné mes muscles dans ce sens. C'est vraiment de la négation de la biologie! Si tu n'a pas le corps entraîné, ce n'est pas un programme qui va remplacer le développement des muscles et des tendons !". En quoi je lui donne raison mais les généticiens semblent avoir trouver la parade. En inoculant au foetus, via la femme enceinte, les modificateurs génétiques permettant d'obtenir les muscles de grand maître des arts martiaux sans jamais les pratiquer, on arrive enfin, au tant souhaité, monstre de Frankenstein 2.0. 

En effet, le premier écrivain de science-fiction, la britannique Mary Shelley, avait déjà bien pressenti le truc. 

 Elle imaginait un résultat pas très probant, avec une créature ratée, souffrant d'errer dans un monde étranger, sans possibilité d'y trouver son semblable, et non pas cet humain dit "amélioré" dont les apprentis sorciers nous rebattent les oreilles. OUI, MAIS VOILÀ, le monstre qui vient, l'aura, son semblable, et même plein de semblables. Le non-monstre pourrait, en revanche, devenir une rareté à éliminer. J'en veux pour "preuve" les pseudo-prémonitions de ma petite élève d'allemand de 5e (oui, je donne des cours d'allemand aux petits allemands dont c'est la langue maternelle, ce qui est un comble en tant que non-allemande mais, aujourd'hui, plus rien ne doit nous étonner). Un jour où j'essayai de la faire se projeter un peu dans l'avenir, elle m'affirma sur un ton ne souffrant aucune contradiction que, d'après elle, de toute manière, je cite : 2030 sera l'année de l'apocalypse des zombies. J'ai bien regardé dans les yeux cette petite de onze ans déjà doublement injectée par des parents fanatiques de la piqûre expérimentale à la mode, grâce aux influenceur/euses du FEM, et, après m'être dit qu'elle regardait un peu trop de trucs gores sur son smartphone pendant les quarantaines (parce que "cas contact") et autres restrictions de mouvements de la vie normale d'un enfant de son âge sous des prétextes très peu scientifiques, j'ai trouvé qu'elle pourrait bien avoir raison.