jeudi 15 décembre 2022

God is a sex Doll for Paedophiles

 Je n'ai pas trop le temps de poster des articles de blog mais je regarde pas mal de choses en ce moment sachant que les très jeunes filles, c'est-à-dire, les femmes de l'avenir sont actuellement gravement "prises en otages" par les réseaux sociaux et l'industrie musicale entièrement tournée vers les moins de vingt ans pour les "programmer".



Je sais, cela semble excessif d'utiliser des expressions comme "prises en otage" ou "programmer" mais nous n'avons pas de recul sur ce qui va se passer avec ces jeunes filles qui passent plusieurs heures par jour sur des réseaux sociaux comme Tik Tok, Instagram, Snapchat etc... et sont influencées par la "culture ado" qui n'est pas du tout une culture mais un conditionnement. 

J'ai découvert par hasard le capitaine Cosmos et ses très passionnantes analyses de videos clips prélevés sur l'industrie musicale d'aujourd'hui. Le fait de poster une de ses vidéos ici ne signifie pas que j'adhère à ses idées mais que je reconnais qu'il fait là un travail essentiel sur ce que l'on donne à voir à notre descendance et pourquoi. Capitaine Cosmos décortique ce que veulent nous communiquer les jeunes chanteuses très prisées des gamines adolescentes parce que, comme il l'explique dans la vidéo ci-dessous, "captées" au berceau comme leurs stars par l'entreprise Disney. Les gamines connaissent ces actrices enfantines dès le plus jeune âge par l'intermédiaire des émissions Disney qui leur sont destinées. Ces stars deviennent ensuite des "chanteuses populaires" pour que leurs jeunes fans continuent à les suivre. Elles sont, en fait, des produits entièrement fabriquées par l'industrie musicale détenue par des gens à intentions précises pour servir un agenda tout ce qu'il y a d'antiféministe et de déshumanisant en général.

Pour ce faire tout ce qui cherche à renverser le contrôle de ces puissants qui suivent un agenda bien précis, est utilisé ou plutôt recyclé, récupéré comme, par exemple. les tentatives d'émancipation des femmes, leur slogan ironique (comme "God is a woman") en les détournant vers un projet de domination pire que tous ceux qui les ont précédé. Capitaine Cosmos met l'accent sur le satanisme mais qu'est-ce que le satanisme si ce n'est, en particulier, l'appropriation/sexualisation du corps des enfants, leur réduction à la sexualité et une emprise destructrice sur les humains et en particulier les femmes dont il faut contrôler la force génitrice ?

Cette vidéo de Capitaine Cosmos est très passionnante parce qu'il dénonce, par exemple, Alice au pays des merveilles et Le magicien d'Oz comme des contes pervertissants liés à la programmation MK ultra qui, si j'ai bien compris, consiste à provoquer intentionnellement la dissociation traumatique par des abus sexuels afin de contrôler les enfants et ici les jeunes filles.

Avec des filles dissociées et hypersexualisées dès l'enfance, portées ensuite sur la scène du showbiz internationale, on envoie des messages pervertissants et traumatisants aux jeunes filles du monde entier. Ainsi plus une seule d'entre elles n'échappent à la dissociation qui permet le contrôle. 

Je ne vais pas écrire un article trop long sur la vidéo mais ce que je retiens personnellement c'est que la culture classique avec Leonard de Vinci, Fritz Lang, Mary Shelley que les jeunes NE CONNAISSENT PAS est dévoyée et reprise pour également servir l'agenda que je ne sais plus s'il faut l'appeler sataniste, pédophile, transhumaniste ou les trois à la fois ou tout simplement masculiniste 2.0, je ne sais pas.



Là où Capitaine Cosmos voit un appel à la disparition du mâle dans le clip "God is a woman", je vois un autre message qui n'est pas du tout "déifiant" pour les femmes. Quand la vidéo reprend Michel Ange et sa Création d'Adam qui devient la Création d'Éve (avec un serpent à la place du sexe... une bite vénimeuse?) ainsi que la Cène de  Léonard de Vinci mais avec sans relâche des positions hypersexuelles comme si Ariane Grande qui, un moment donné se couche à l'envers sur la table (a-t-on déjà vu le Christ en position pour s'accoupler?), n'était qu'une poupée mécanique prête à chaque instant au sexe. C'est un être qui ne mange pas, ne boit pas, ne va pas aux toilettes, n'a aucun besoin hors du sexe, n'a pas d'autre discours que "je veux m'accoupler, là, tout de suite, j'en peux plus tellement je suis excitée sexuellement. Je suis l'excitation sexuelle incarnée". La table de la Cène est transformée en présentoir de femmes que l'on dirait à vendre pour le sexe, etc.. Bref, il ne s'agit pas d'un agenda de renversement de la domination masculine, bien au contraire. Il ne s'agit pas de remplacer un Dieu mâle par un Dieu femelle. De mon point de vue, et surtout si on prend au sérieux les paroles de la chanson à l'envers, il s'agit de clamer que Dieu est une poupée sexuelle destinée au pédo suprême. Et s'il faut tuer les mâles ("kill the boy") c'est pour empêcher de sortir de l'emprise du pervers sexuel souverain que l'on peut appeler Satan. D'ailleurs à qui dit-elle "kill the boy" ? On dirait qu'elle parle à un maître invisible auquel elle est soumise. En effet, les victimes de viol incestueux voient toujours leur bourreau comme le diable en personne et le mot "diable" signifie justement "qui dissocie". Ariane Grande, dans ce clip, ressemble totalement à la Lolita qui a intériorisé son rôle de poupée pour pédos ainsi que la jalousie de son oppresseur violeur. Elle ne veut plus que lui et ne veut pas être tentée par de jeunes hommes de son âge qui pourrait la mener vers une vie amoureuse saine. Il faut donc tuer ces concurrents qui pourrait la soustraire au diable tout-puissant. Tout cela n'a strictement rien de féministe. C'en est l'exact contraire.       

 
 
Actualisation du 16.12.2022. C.C. a fait une série de 12 vidéos sur plusieurs stars du showbiz actuel. Dans celle sur Taylor Swift il dit : "Qui paie pour sa musique aujourd'hui ? (sous-entendu cette industrie ne rapporte rien et même elle perd de l'argent). Les clips (ne sont pas faits pour gagner de l'argent mais) pour rentrer des images dans la tête des gens (...) Les images sont comprenables pour la population qu'on sache lire ou non, les symboles, notre cerveau les comprend. Nos cerveaux sont comme brandés (marqués, connectés) avec la mémoire de l'humanité ; ces symboles-là sont dans l'humanité depuis toujours et sont systématiquement réinfusés". 

Pour compléter le propos qui nous met en garde sur une forme de conditionnement extrêmement pernicieux, j'ai envie d'ajouter la vidéo trouvée ici d'Ariane Bilheran qui dénonce l'imposture des droits sexuels. Il me semble que les deux vidéos se répondent en écho. L'un aborde le sujet en s'attachant à décrypter ce que le domaine artistique/showbusiness renvoie comme messages et AB extirpe du domaine juridique les arrière-pensées derrière un discours néo-moralisateur des plus étranges. Il en ressort clairement que le contrôle total de la psyché humaine est le motif.