Définition Wikipédia du transhumanisme:
” Un mouvement culturel et intellectuel international prônant l’usage des sciences et des techniques afin d’améliorer la condition humaine notamment par l’augmentation des capacités physiques et mentales des êtres humains.”
Il s'agit d'un projet viriliste avec fantasmes de super pouvoirs. Il suffit d'aller sur ce site pour voir la tête de ses adeptes et donc quel sexe nourrit ce genre de fantasmes. Prévenez-moi si vous y repérez une femme.
"Le transhumanisme est d’inspiration libérale. Né en plein cœur de la Silicon Valley, il s’appuie sur les progrès technologiques et est financé en grande partie par les GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) dont une partie des hauts dirigeants est acquise à ce courant de pensée." À lire sur ce site.
Pendant ce temps quelques femmes posent un regard critique sur ce projet relevant de l'hubris la plus débridée et bien plus inhumain que transhumain.
Et à quoi se réfèrent donc ces femmes pour retrouver les repères de l'humanité ? À l'époque de l'éternelle Renaissance !!!
Réflexions de l'experte de la Renaissance Karine Safa
D'après mon humble personne, le transhumanisme est une nouvelle étape dans la créatuerie (voir, sur mon blog, "les Créatueurs"). Cette fois, ce n'est plus seulement la hache pour abattre les arbres indispensables à notre survie mais les injections à répétition de matériaux émetteurs-récepteurs directement inoculés dans la chair humaine (biologie "augmentée" de la nanotechnologie).
Après la faune, la flore, l'air et l'eau, que restait-t-il donc à coloniser (polluer) par les dominants ? Notre chair et notre sang. C'est donc fait.
Je suis frappée de voir qu'un nombre non-négligeable de personnes très intelligentes et surtout féministes que j'ai suivies pendant des années avec fascination pour leurs capacités d'analyses sociaux-politiques croient tout à coup avec une ferveur fanatique prête à tous les abus, chose que, de ma vie, je n'aurais imaginé possible chez elles, aux effets protecteurs d'injections inventées et mises sur le marché puis imposées par une poignée de milliardaires psychopathes pourtant exclusivement masculins*. Comment est-ce possible?
Si quelqu'un.e a une explication à ce paradoxe, n'hésitez pas à éclairer ma lanterne. Et si vous pensez, vous aussi, que la "crise que nous traversons" est un machin sanitaire, qu'il ne faut pas chercher plus loin, que le faire relèverait de la folie furieuse et qu'à tout prix nous devons accepter ces injections financées par les GAFA, n'hésitez pas non plus à me démontrer mais sans insulte, merci, cette "évidence".
Le psychologue Mattias Desmet donne des éléments de réponse dans cette vidéo.
* Bien sûr, comme toujours, quand des hommes (et aussi des femmes) s'opposent à ce projet, ils se font pour beaucoup purement et simplement éliminer. Pour n'en citer que quelques uns : Dominique Biscardi, Giuseppe De Donno, Serge Ader, Karl Hilz, Andreas Noack. Ce projet ne fait l'objet d'aucun débat. Il nous est purement et simplement imposé à notre insu.
Brrr, elles sont glaçantes, ces peintures. Nous sommes les heureux bénéficiaires des progrès de la médecine, malgré ses limites, mais vouloir transformer l'homme en supermachine, c'est autre chose, en effet, qui fait froid dans le dos.
RépondreSupprimerA bientôt pour de nouvelles aventures de femmes artistes ?
Merci Tania pour le commentaire ! Oui, de nouvelles aventures même si ces images me glacent aussi, je dois l'avouer !
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