Artémis - après avoir demandé à Aréthuse si elle était de gauche, pro-prostitution, pro-trans, pro-voile, pro-vaccin ainsi qu'en possession d'un code QR - la protégeant du dieu-fleuve Alphée.(peinture de Charles-Alexandre Crauk,1819 - 1905)
La globalisation, le corona, l'Ukraine, le transhumanisme et autres propagandes gouvernementales doivent être avalées les yeux fermées par la classe militante, surtout féministe, qui hurle quand même qu'elle est de gauche tout en enfourchant les chevaux de bataille de madame von der Leyen. La même gauche autoproclamée s'offre, en sus, la prérogative d'étiqueter à "droite" tou.te.s celleux qui ne se plient pas, ne se couchent pas, ne lèchent pas les bottes du pouvoir. Car qui ne lèche pas les bottes du pouvoir est estampillé d'extrême-droite ou carrément "nazi". Il faut croire que les nazis n'ont jamais été au pouvoir, Il faut croire que la gauche a toujours été du côté des plus forts. Les "fascistes" sont désormais les empêcheurs de se prosterner en rond devant les maîtres. Toute valeur est inversée. Tout sens est retourné cul par-dessus tête comme dans "1984"; la gauche c'est se conformer, la droite c'est désobéir. Dans un monde où le crédit social à points se conjugue au futur, dépêchons-nous d'être bien notées, les filles !
À l'heure où les pires ploutocrates s'autoproclament "de gauche", la cour toujours en mal d'imitation des "grands" ben... les imite, du coup et,ce faisant, se proclame de gauche aussi. Aucune remise en question des dominants sauf anciens ou de troisième catégorie, même pas de leurs marionnettes. On est loin d'avoir le courage des suffragistes britanniques qui dynamitaient les résidences des nantis et se jetaient sous les pattes du cheval du roi ! Foin du sentiment d'injustice. Tout cela doit être remisé au grenier.
On ratiocine à perdre haleine sur les dissensions, on répertorie de A à Z les groupuscules infréquentables, pardon "de droite", avec lesquelles ne pas s'aventurer à vouloir débattre et bien sûr, avec lesquels ne pas partager le centième d'une opinion, attention aux mauvais points. On ne se commet pas avec les sous-humains (la déshumanisation est une notion nazie devenue de gauche) sous peine de déportation dans le goulag des têtes brûlées qui ne se soumettent à rien.
La solidarité féminine/ste est bien morte. Chacune cultive désormais l'idéologie adoubée par papa-état et le délit de penser en dehors des clous équivaut à un crime puni de bannissement social. C'est la catharsis 2.0. C'est-à-dire les deux minutes de la haine orwellienne, l'expression préalable de l'agression qui permet de mieux accepter les chaînes.
Bref, le morcellement est total et plus personne n'accepte les divergences de points de vue. Ce qui signifie que sortir de la domination masculine installée depuis des siècles n'est plus du tout mais alors plus du tout la priorité. C'est principalement la biologie qui sert de pomme de discorde et cela se comprend parfaitement avec la main-mise actuelle de l'industrie pharmaceutique sur nos vies. Donc, on ne trouvera nulle part de critique à ce sujet, au contraire : uniquement des critiques de qui critique. Et puis étiqueter ce qui est de gauche et ce qui est de droite pour bien maintenir le focus sur les guerres de chapelles, bien entretenir les divisions, cela permet de garder ses oeillères en place. Il me semble que lorsqu'on contourne en permanence l'éléphant dans la pièce, c'est qu'il fait la loi et en parler est donc le tabou suprême.
En rapport avec mon entrée précédente, je viens, à ce propos, de découvrir un article particulièrement condescendant. Il dénonce exactement l'argument que j'ai utilisé contre la modification génétique des humains (qui ne veulent surtout pas bouffer des OGM mais veulent bien en devenir eux-mêmes). Il y a même la comparaison avec Frankenstein ! Jugez vous mêmes :
Vouloir améliorer l’humain renvoie à l’imaginaire du Frankenstein de Mary Shelley, à une volonté prométhéenne qui veut se mettre à la place de Dieu et qui, ce faisant, va immanquablement provoquer des catastrophes. Les vaccinateurs sont présentés comme de véritables apprenti·e·s sorcières·ers. On critique dès lors la composition – réelle ou supposée – des vaccins, les nouvelles techniques qui n’ont pas été éprouvées, et on monte soigneusement en épingle le moindre accident vaccinal. À ce sujet, Salvadori et Vignaud notent que l’internationalisation des informations diffusées par les vaccinophobes est très précoce, quelle que soit la qualité de celles-ci (souvent issue de rumeurs, mais pas toujours puisque l’histoire de la vaccination est faite d’accidents vaccinaux parfois très graves, par exemple par la propagation de certaines maladies par des actes pratiqués dans des conditions d’hygiène insuffisantes).
À lire sur LA référence blogosphérique féministe actuelle française. Remarquons que tourner en dérision les sceptiques de la seringue qui doit toutes nous transformer en Wonder Woman, et pas en invalides à vie, ou alors accidentellement mais alors c'est pas grave parce que ça n'a de toute façon rien à voir avec la soupe injectée, cela va de soi, doit être compris comme un argument pro-injection expérimentale imposée à sept milliards d'individus qui n'onr rien demandé à personne.
Les néoféministes chassent maintenant de plus en plus sur les terres de, jadis, les fanatiques religieux (tout en continuant à se considérer elles-mêmes comme des sorcières que l'on veut brûler car "les bourreaux sont les victimes" selon l'inversion orwellienne)) sous des appelations fabriquées maison de plus en plus ridicules :
- les putophobes ou PERF + les transphobes ou PTERF + (maintenant) les vaccinophobes ou VPTERF
Le féminisme est devenue un pouvoir dans le pouvoir et attention à la dissidence car désormais "BIG SISTER IS WATCHING YOU" !
Ce n'est pas grave pour les croyants en la Sainte Médecine si la personne humaine est traitée comme ici, en Chine, où ce déjà robot, vrai cosmonaute du pavé, attaque une vieille femme avec son écouvillon.
Au travers des "truc-o-phobes", l'interdiction de critiquer des revendications, des mécanismes d'attitudes ou démarches d'associations douteuses. Sur le vaccin contre le coronavirus, dont je commence à me méfier, des personnes ont subi des effets secondaires graves, et au nom de la "croyance en la science" comme si c'était une religion, ceux qui s'en revendiquent font quasi aucun effort d'aider et d'écouter les souffrances des vaccinés qui souffrent d'effets secondaires. "Vaccinophobie", probablement inventé par les pro-vaccins du coronavirus qui n'imaginent pas qu'il y ait des critiques fondées contre le vaccin comme si la vigilance était interdite. Le qr code n'est que dépendance à internet jamais capable de protéger les données sensibles, et je pense qu'aucune données médicales ne devraient circuler par internet; la sécurité est un principe qui ne peut pas être ignoré.
RépondreSupprimer"Transphobes". Terme préféré des transactivistes qui ne voient jamais qu'il y a leur propre misogynie derrière. Le terme "TERF" est prouvé comme étant un appel à la violence envers les femmes. Les transactivistes vont même jusqu'à hurler à "l'intolérance" quand les femmes lesbiennes ne veulent pas d'homme, comme si l'individu, madame dans ce cas, devait se forcer à ce qu'elle n'a pas envie, et tout ce que ça implique de mépris envers les femmes.
Je culpabilise de ne pas avoir écouté les avertissements de l'attitude des transactivistes. Tu m'avais prévenu, et au lieu de t'avoir parlé ou demandé + pour savoir, je ne l'ai pas fais, et je le regrette beaucoup, car tu as toujours su me le faire savoir et me le dire quand je me trompais.
En terme de raisonnements mal argumentés et souvent faux, les transactivistes pratiquent une longue liste de sophismes. Ca en dit beaucoup de leur attitude.
Personne ne hurle à l'hétérophobie quand un homme refuse une femme et vice-versa (bien qu'il y ait misogynie quand monsieur au lieu de reconnaitre à la fois un échec et madame en tant qu'être humain, il revient à la charge, sans comprendre intégralement qu'il doit arrêter).
L'accusation de transphobie, sophisme adulé des transactivistes, est sa propre intolérance qu'il masque en tolérance dont il abuse de celle des autres. Il y a tellement à dire d'eux et leur attitude jamais trop loin de ce que ferait ou ferait faire une secte, et je déplore l'écoute trop attentive des réseaux sociaux à leur effet de meute, au détriment de leurs arguments rarement justes. Si ce mouvement était au moins décent, et surtout s'il ne cherchait pas l'accaparement de d'autres mouvements, il n'y aurait pas grand chose à dire contre, mais ce n'est pas le cas.
Très rares sont les femmes franches qui sont lucides contre le transactivisme. Je connais un groupe où des femmes, toutes sérieuses, argumentent contre le transactivisme, et contre l'accaparement du féminisme par cooptation des transactivistes. Peut-être serais-tu intéressée par celles qui s'appellent les "Rebelles du Genre". Je suis curieux et intéressé par ton avis qui a toujours été très bien argumenté.
Je ne parle plus de LGBT, mais de LBG. Orientation sexuelle uniquement, pas plus. Pas de déformation ni ajout d'associations d'apparences que je trouve superflu.
Pour l'accusation de "putophobie", c'est bien démontré que c'est les pro-prostitution qui pratiquent cette appellation aussi tordue que la transphobie (et comment peut-il y avoir transphobie si on ne sait pas que quelqu'un est trans ?), et quelque soit le nombre de raisons qu'il existe contre la prostitution, toutes sont valides, et à travers les accusations de "putophobie", le lobby de la prostitution se revendique, et recoure lui-même à la misogynie.
Je suis rassuré que tu laisses des nouvelles de toi, et te remercie d'être présente. Pardon pour mon long commentaire. Merci beaucoup
Merci pour ton gentil commentaire. Je ne sais pas qui tu es, étant donné que tu n'as pas laissé ton nom mais un homme, apparemment. Pour les transactivistes, c'était une manipulation bien menée. Beaucoup s'y sont laissé prendre. Ne culpabilise pas parce que cela veut juste dire que tu pars du principe que les gens sont bienveillants. C'est d'ailleurs le problème, la plupart du temps, on ne pense pas à la manipulation sauf si on se met à se demander ce que telle ou telle idéologie peut avoir comme conséquence concrète dans le monde, quelle danger elle peut représenter pour l'ensemble de la société. Tu as raison, les effets de meute sont toujours destructrices. Il faut toujours se demander si l'on pense une chose par confort ou parce qu'elle est juste. Souvent les pensées justes sont très inconfortables. Mais l'inconfort n'est pas non plus un signe de justesse de pensée. J'ai eu des échanges hors réseaux sociaux avec des gens qui essayaient vraiment de comprendre et ensemble on a trouvé ce que à quoi le transactivisme servait. Moi, je me plaignais parallèlement de la propagande très harcelante autour de l'IA et du transhumanisme et là, on s'est dit qu'un point commun existait. Le transactivisme est un mouvement très agressif qui veut abolir la biologie et, parallèlement, nous avons les tenants du transhumanisme qui ont exactement le même but. Nous avons donc affaire à une infiltration de l'agenda globaliste et transhumaniste (les deux vont de pair). En fait, en ce moment, je voudrais voir plus d'hommes et de femmes qui se donne la peine de regarder le monde dans son ensemble et pas qui se cantonnent dans des thèmes qui leur sont chers. J'ai l'impression qu'ils et elles ne voient que les petits prédateurs nuisibles pour certains groupes mais pas les grands prédateurs nuisibles pour tout le monde, les hectomilliardaires qui ont un agenda bien précis. Les femmes sont bien entendu pressenties pour êtres les plus grandes perdantes alors elles ont intérêt à s'en préoccuper. Oui,la putophobie c'est, là aussi, une diffamation des abolitionnistes puisque les abolitionnistes mettent des bâtons dans les roues du trafic humain, encore quelque chose qui gêne l'agenda des mondialistes. Le trafic humain leur convient d'autant plus qu'ils nous réduit à un cheptel humain interchangeable. Je vais regarder qui sont les "rebelles du genre" mais j'avoue que je suis un peu échaudée question rebelles. J'ai l'impression que, comme d'habitude, dès que l'on sort des effets de mode, il ne reste qu'une infime minorité de vraies résistant(e)s. Bon, tu vois, j'ai fait un aussi long commentaire que toi ;)
SupprimerLe tout est instructif à lire !
SupprimerTu as raison, c'est un homme qui t'a parlé, mais j'ai comme une peur de la renommée, je ne me sens pas assez prêt à te dire qui je suis. Je le dois peut-être à un échantillon de transactivisme que j'ai subis; vraisemblablement, le refus d'un rencard, les transactivistes ne supportent pas, même si c'est dans un jeu vidéo (qui n'est donc pas censé être réel).
Tu m'as vu magicien à la peau émeraude. Tu as aussi admiré un rêve (qui est ce qu'il est) où j'étais un voleur d'entrepôt qui avait aperçu deux prisonnières attachées que je n'avais pas l'intention de libérer jusqu'à ce que j'apprenne que c'était Tintin, le responsable.
Une fois, tu m'as indiqué d'éviter le terme "belle-mère" qui fait sexiste quand je critiquais une membre de ma famille, et je pense t'avoir dis que je comprenais et que je ferai attention (et je m'y suis tenu depuis !)
Les milliardaires... J'en finirais jamais si je disais la longue liste d'abus qu'ils ont commis et commettent. Est-ce que l'agenda serait de faire des "républiques corporatistes", aux ordres des riches exclusivement ? J'en ai l'impression, vu la définition que j'ai trouvé dans un jeu vidéo qui s'appelle Call To Power; un régime politique où seuls les grandes firmes et les milliardaires font sans limites, ou avec des limites faciles à contourner, tant que c'est à leur service.
Récemment, il y a les nfts, ces horreurs de cryptomonnaie que ses "défenseurs" (je suis trop poli par rapport à ce que je pense) sont incapables d'expliquer avec transparence, sans dire les risques, sans faire de complications, sans expliquer le mécanisme; une horreur pour l'environnement, parce qu'il y a des milliers d'ordinateurs qui travaillent, la blockchain, parait-il, conservent n'importe quelles données sans rien pouvoir effacer, laissant libre à n'importe quel malveillant le soin de voler de l'argent, et je te raconte pas la longue liste d'abus : abus de confiance, de droits d'auteur (notamment des artistes qui 1) se font copier leur art mais 2) ne sont pas payés, et qu'ils en ait eu envie ou non 3) n'ont jamais donné leur permission pour ça), de la spéculation, une rareté artificielle... Une gigantesque escroquerie (appelée "pyramide de Ponzi") qui a achevé de me convaincre que la cryptomonnaie doit disparaitre. Ou comment proposer un problème pire que le problème en ayant rien tenter de résoudre. Les pro-nfts disent volontiers pourquoi ils sont dedans (s'enrichir) mais pas comment ça fonctionne (ce qui fait de ce concept une opacité), et ne supporte aucune critique (peu importe le choix des mots) et c'est en n'étant pas dedans que l'on peut essayer de comprendre, tant les pro-nfts prouvent contre eux que les nfts, comme toutes les cryptomonnaies bitcoin ou pas, ne valent pas la peine.
Avec une "conquête de l'espace" qui rime avec lâcheté des trop riches de faire ce qu'ils veulent (sans que les Etats fassent leur devoir de limitation dure à leur encontre qu'ils sont censés faire). Ici encore, il n'y a que les ultra-riches qui y gagnent.
Communiquer avec toi, me fait comprendre que la discussion peut être constructive, et je regrette de ne pas l'avoir fais + souvent, mais peut-être suis-je + quelqu'un qui écoute et qui cherche à comprendre, qui approuve ou non, que quelqu'un qui discute. Trop super d'avoir échangé avec toi !
Un magicien à la peau d'émeraude... les circonstances m'échappent et, du coup, ton identité. Très intéressant ton lien entre l'actualité et "Call to Power". Je suis en train de lire un livre intitulé "Generation Doof" (génération idiote) et on y comprend très vite que tout ce qui se lit et se regarde avec quoi les psychopathes remplacent notre culture est à décrypter comme la nouvelle réalité qu'ils mettent en place. Aussi de ton avis concernant la cryptomonnaie.
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